Suite de la page LA FRAUDE ET LE VIN https://www.cavescooperatives.fr/la-fraude-et-le-vin.html
Sur cette page sont exposées les affaires les plus médiatisées des dernières décennies sous forme de copies d'articles de presse ou de délibérations de tribunaux.
1) Préambule : Ce que l'on boit aujourd'hui quand on croit boire du vin (1883)
2) Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes - faits marquants sur les fraudes liées au vin (2014)
3) Corse (1960-70)
4) Bordeaux LE VIN AMER DES CHARTRONS (1973)
5) SICA DU VAL D’ORBIEU (1989)
6) Scandale au bourgogne frelaté (2000)
7) Languedoc – Edmond Balmefrezol - Un juteux trafic de vin tourne au vinaigre (2001)
8) AOC et châteaux : fraude à Bordeaux (2001)
9) L'affaire GEENS (2002 à 2016)
10) L'affaire RIEUX (2006 à 2012)
11) Le faux pinot – Languedoc (2010)
12) L'affaire Rudy Kurniawan (2014)
13) Les Vignerons de la Méditerranée (2014)
14) Une affaire de fraude aux vins secoue la Bourgogne (2016)
15) Fraude dans le vignoble bordelais : un millésime relevé à l'acide sulfurique (2012)
16) Bordeaux - Fraude au « vin de lune » (2016)
17) Liber Pater : le créateur du vin de Bordeaux le plus cher condamné pour escroquerie (2016)
18)StanzianiAlessandro, « La falsification du vin en France, 1880-1905 : un cas de fraude agro-alimentaire », Revue d’histoire moderne et contemporaine, 2/2003 (no50-2), p. 154-186.
19) Un exemple de pseudo-fraude : les vins espagnols commercialisés en toute légalité par la Grande Distribution française."Sur l'étiquette, l'origine ne prête pas à confusion". (2017)
20) La "francisation" : le consommateur est coupable et aime être berné.
21) 1855.com : pendant plus de neuf ans, le site spécialisé dans les vins de Bordeaux a vendu des bouteilles dont il ne disposait pas.
22) Raphaël Michel (Vaucluse, 2017) : mise en examen pour escroquerie et fraude en bande organisée.
23) Les fraudes invisibles.
24) Bordeaux 2017
25) Romanée Conti 2017
26) Vignobles de Lorgeril 2017
27) Suisse 2018
28) Côte d'Or 2018
29) Commission européenne_Centre de connaissances-2018
30) Bordeaux et Christophe Robert 2018
31) Bordeaux et l'affaire Ferrer 2018
32) Bordeaux et Château Giscours
33) Fraude dans les CHR 2017
34) Fraude à l'étiquetage et chantage à l'emploi dans le Var.
35) Francisation de vins rosés espagnols.
36)Hardy Rodenstock
37) Dérèglementation : capsules représentatives de droits (CRD) et déclaration de récolte (DR)
Accusé de produire du faux champagne en France, un vigneron s’installe au Maroc et se lance dans l’export de fruits et de légumes
Fraude au faux champagne ou complot ourdi par des employés malintentionnés à l’égard de leur patron? En France, l’affaire Didier Chopin fait grand bruit et résonne jusqu’au Maroc, où le vigneron s’est installé dans la région de Rabat pour y créer une nouvelle entreprise.
À quelques jours des fêtes de fin d’année, l’émission «Complément d’enquête», diffusée sur la chaîne française France 2, a consacré son édition du 14 décembre aux fraudes et scandales qui agitent le milieu des vins et champagnes en France.
En première partie de l’émission, intitulée «Bordeaux, champagne: quand les escrocs s’attaquent à nos bouteilles!», Dominique Mesmin et Vincent Buchy, journalistes d’investigation, se sont intéressés à un cas en particulier qui fait couler beaucoup d’encre en France depuis le mois d’août, celui de Didier Chopin.
Quand la success-story vire au scandale
Ce vigneron établi dans la Marne aurait en effet écoulé plus d’un million de bouteilles de faux champagne dans les supermarchés français. Son succès tiendrait en une recette simplissime: faire passer du vin d’Espagne bas de gamme pour du champagne, en y ajoutant un peu de liqueur, du CO2 pour les bulles et une belle étiquette.
Le reportage se base, d’une part, sur des témoignages et des documents fournis par plusieurs employés, qui permettent de retracer la transformation industrielle de vins blancs espagnols gazéifiés en bouteilles de champagne, grâce à l’utilisation d’une usine initialement dédiée à la production de vins mousseux et aromatisés. D’autre part, le reportage s’appuie sur des analyses de laboratoire qui concluent à la non-conformité des vins, ceux-ci ne correspondant pas aux critères exigés pour recevoir l’appellation champagne.
Il n’en demeure pas moins qu’«en 2022, Didier Chopin aurait écoulé 1,5 million de bouteilles sous l’appellation champagne grâce à un site de production à Billy-sur-Aisne commercialisant des pétillants et apéritifs», explique le journal Le Parisien. En effet, les grandes surfaces qui commercialisaient ces bouteilles n’ont pas relevé de fraude, d’autant que les dégustateurs experts de Gilbert & Gaillard ont décerné l’or en 2022 à la production de Didier Chopin, y trouvant un «nez très engageant, mûr, fruité, touche pâtissière, pain frais. En bouche beaucoup de fraîcheur, des arômes intenses et une finale exotique très équilibrée». Un avis tressé de louanges aux antipodes des avis critiques laissés sur Google par de présumés clients mécontents.
Dans les colonnes du journal La Voix du Nord, Ludivine Jeanmingin, responsable de site à la SAS Chopin de mai 2021 jusqu’à son licenciement pour faute grave en mai 2023, décrit le type de plaintes reçues de clients mécontents, durant la période des fêtes de fin d’année en 2022. Elle évoque ainsi une quinzaine de plaintes de clients, auxquelles elle répondait en expliquant qu’un «problème de vinification pouvait arriver», avant d’échanger le produit. Mais, poursuit-elle, «j’ai ouvert et goûté une des bouteilles que l’on m’avait ramenée. Il n’y avait pas de bulles, un voile visqueux apparaissait dans le verre. Ça n’avait pas le goût de champagne, mais de vin oxydé».
Un avis négatif est également remonté par un magasin de l’enseigne de grande distribution Leclerc, basée dans la Marne. Son patron explique ainsi au même média que «le problème nous est remonté à la foire aux vins, en septembre 2022. On a été obligé de retirer tous les produits. Les vins étaient troubles. On a fait les analyses qualité nécessaires, ils ne contiennent aucun produit dangereux pour l’être humain».
Une nouvelle vie au Maroc
Virtuose du champagne ou escroc? De son côté, l’intéressé réfute toutes ces accusations en bloc. Celui qui, sur son compte LinkedIn, fait prévaloir ses «30 ans d’expérience» et une passion pour le vin qui a abouti à la création de sa Maison en 1989, une entreprise familiale basée à Champlat-Boujacourt, dans la Vallée de la Marne, crie au complot.
Désormais établi au Maroc, dans la région de Rabat, l’homme dont la société en France est placée en redressement judiciaire a ouvert une entreprise d’export de fruits et de légumes nommée «Les champs sans frontières», qui compterait parmi ses clients, selon Le Parisien, «Carrefour, mais aussi Leclerc».
Approché par les journalistes de «Complément d’enquête», Didier Chopin dénonce «un coup monté» orchestré par ses salariés et nie toute tentative de fraude de sa part. «C’est une affaire qui m’a fait beaucoup de mal», affirme-t-il.
Entre-temps, une instruction judiciaire pour fraude a été ouverte au tribunal judiciaire de Reims. Mais sur France 2, l’avocat de Didier Chopin, Me Francis Fossier, déclare quant à lui qu’«aujourd’hui, monsieur Chopin m’a dit les yeux dans les yeux que ce n’est pas vrai. Moi je n’en sais rien. Il n’y a pas une lettre dans ce dossier de la SAS Chopin de personnes venant l’accuser de faire du faux champagne».
Laurent Ponsot livre sa vérité, celle d'une longue traque qui permit l'arrestation de Rudy Kurniawan, le faussaire qui avait escroqué experts et collectionneurs.
L'histoire est digne d'un scénario hollywoodien : une arnaque de plusieurs dizaines de millions de dollars impliquant les meilleurs grands crus du monde, des experts et riches collectionneurs ...
Le Conseil interprofessionnel du Vin de Bordeaux (C.I.V.B) avait déposé plainte pour contrefaçon. Cette condamnation est une première en Chine.
L’affaire est peu commune. Le Conseil interprofessionnel du Vin de Bordeaux (C.I.V.B) a réussi à faire condamner un faux producteur de vin qui exerçait à Shanghai. Il s’agit d’une première pour une marque collective qui n’avait encore jamais obtenu de victoire dans une procédure pénale en Chine, détaille France Bleu. Le procès avait été lancé après une saisie, en mars 2019, de 10.000 bouteilles contrefaites de Bordeaux sur le stand d’un exposant au salon des vins de Chengdu.
"Cette condamnation constitue une avancée très significative dans la lutte contre la contrefaçon depuis plus de 10 ans", s’est félicité le C.I.V.B. Le faux producteur avait été identifié en amont du salon et l’opération de saisie avait été soigneusement préparée avec l’administration chinoise, explique l’interprofession. C’est cette procédure qui a permis de lancer une action auprès de l’administration en charge de la protection de la propriété intellectuelle à Chengdu, qui a ensuite transmis à son homologue à Shanghai, détaille la radio.
Le faux producteur de vin a été condamné à 18 mois de prison avec sursis et des amendes de 100.000 Yuans (13.000 euros) au titre de sa société et 50.000 Yuans (6.500 euros) à titre personnel. "Cette victoire au service de la filière des vins de Bordeaux constitue un encouragement pour le C.I.V.B à poursuivre ses actions pour faire obstacle au phénomène de contrefaçon en Chine", s’est félicité le président de l’interprofession Bernard Farges sur France Bleu.
Le pays est le premier marché des Bordeaux, détaille de son côté Le Figaro avec 23% en volume (27% en valeur) et la lutte contre la contrefaçon y est une priorité du C.I.V.B depuis 10 ans. L’interprofession participe notamment à la formation de "centaines d'agents" chaque année contre la contrefaçon dans des villes et provinces chinoises considérées comme prioritaires.
"Le mauvais vin chasse le bon : « Dans le Grand Duché de Luxembourg des vins bien élevés, convenables, ne trouvent que difficilement preneur. Tous les ans arrivent des négociants étrangers pour acheter notre vin acide ; plus il est acide, mieux il est payé ». Au moment de la vendange, il existe trois méthodes d’amélioration. La plus ancienne, chaptalisieren, consiste à ajouter du sucre au moût ; en 1879 « le prix du sucre a beaucoup augmenté à cause de l’été froid et humide ». Gallisieren, c’est ajouter de l’eau pour diluer les acides, d’après le procédé mis au point à Trèves par l’œnologue Gall. Enfin petiotisieren consiste à faire fermenter de l’eau sucrée sur le marc après que la bonne cuvée a été soutirée. Le vinage est une addition d’alcool de grain pour faire monter le degré, le temps de passer l’octroi, quitte à rajouter de l’eau par après. On jette une quantité d’eau sur le marc tiédi à 30 °, on ajoute quinze kilos de sucre pour 100 litres d’eau. La fermentation dure 12 jours et on obtient ainsi 100 litres de vin. En 1892, sur les 132 analyses de vin réalisées, la plupart des tonneaux contiennent du vin « gallisiert » ; souvent on a rajouté de l’alcool.
31 BARTH, Der Rebbau… op. cit., p. 461.
18Ces pratiques sont suicidaires pour l’image des vins d’Alsace en Allemagne : on « oublie » de les présenter à l’exposition de Mayence en 1900 ; la consommation de tous les vins, bons ou mauvais, est frappée. Les vignerons sérieux se découragent.
32 Archives Municipales de Haguenau, NR 356, 2 juin 1899, publicité de J. Gehring de Winterthur.
19Le marché prend sa revanche : au vin léger et aigre à 35‑40 fr l’hectolitre se substituent des vins sans raisin : le sucre, les poires, voire les raisins secs constituent les matières premières pour la fabrication d’un produit de remplacement dont le goût n’est pas tellement différent. La société Gehring de Winterthur en Suisse conseille de mélanger « 1,50 gr de caramel, une bouteille d’ester de fruits, un petit paquet de levure avec 390 gr de gélatine et un petit paquet de 350 gr de compote de fruits, 100 l d’eau… ». À 2,8 Pfennig le litre, le produit est très abordable. Chaque habitant du Reichsland boit en moyenne, en 1907, 5 litres de vin artificiel."
En 1871, l'Alsace-Lorraine est intégrée dans le nouvel espace commercial de l'Allemagne du Nord. Dans cet espace, deux mouvements de sens opposé aspirent les vins alsaciens de n'importe quelle q...
Ces vins italiens contenaient du sang de bœuf et du plâtre
Il y a environ 60 ans, le scandale des vins artificiels ébranlait l’industrie viticole italienne. Il souligne l’importance des règles et des contrôles.
Publié: 29.09.2023 à 19:03 heures
L’un des scandales du vin les plus retentissants remonte à une soixante d’années.
Les vins italiens font aujourd’hui partie des meilleurs au monde. Aucun autre pays, ou presque, ne compte autant de cépages indigènes, cultivés, élevés et embouteillés avec amour et soin. Il n’est donc pas étonnant que l’Italie soit le pays dont la Suisse importe le plus de vin.
Le chemin qui a mené l’Italie vers les sommets a pourtant été semé d’embûches. Plusieurs scandales du vin ont secoué le pays, comme le «Brunello Gate». Ce qui a été l’un des scandales les plus retentissants remonte déjà à une soixantaine d’années, mais son ampleur en a éclipsé beaucoup d’autres.
Au cours des années soixante, les exportations de vins italiens commencèrent à s’envoler. Des vins rouges comme le chianti ou l’amarone avaient déjà la cote. Face à une demande qui explosait, la production n’arrivait plus à suivre. Ajoutez à cela l’absence de contrôles efficaces et vous avez tous les ingrédients du scandale des vins artificiels.
Selon les révélations du «Spiegel», des laboratoires allemands trouvèrent des traces de sang de bœuf dans des échantillons de vins italiens analysés dans les années soixante. Mais aussi des résidus de peaux de veau, de ferrocyanure de potassium et de plâtre. Et ce n’était pas tout. Certains faussaires avaient eu recours à des décoctions de bananes ou de figues avariées pour sucrer artificiellement les vins.
Au total, la justice italienne a arrêté plus de 200 faussaires et mis fin à ce scandale viticole peu ragoûtant. Même si le scandale des vins artificiels date d’il y a plus de 60 ans, il met en lumière un aspect essentiel : l’industrie du vin a besoin de règles strictes et de contrôles rigoureux pour que la qualité des vins soit garantie.
Il y a environ 60 ans, le scandale des vins artificiels ébranlait l'industrie viticole italienne. Il souligne l'importance des règles et des contrôles.
Ces vins italiens au méthanol ont fait plus de 20 morts
Dans toutes les catégories de prix, les vins italiens font partie des meilleurs au monde. Malheureusement, ce grand pays du vin a connu plusieurs scandales viticoles durant son histoire, dont celui du vin au méthanol.
Il y a une quarantaine d’années, l’Italie a connu l’un des pires scandales viticoles de l’histoire. Selon les informations du magazine allemand Spiegel, des vins rouges coupés au méthanol (encore appelé alcool méthylique) entraînèrent à l’époque plus de 20 décès et provoquèrent des symptômes tels que des troubles de la vision ou des vertiges. Plus de 100 embouteilleurs italiens avaient coupé leurs vins rouges avec du méthanol au motif que cela revenait moins cher que de produire le vin.
Une fois derrière les barreaux, un escroc reconnut avoir frelaté les vins selon une formule simple : 80 pour cent d’eau, dix pour cent d’alcool méthylique, colorant inclus, et seulement dix pour cent de vin rouge. Après les premiers retours de tests positifs dans des laboratoires allemands, les vins italiens bon marché furent retirés en masse des rayons, y compris en Suisse.
Pas le premier scandale du vin
Cette fraude entrée dans l’histoire comme l’«affaire du méthanol» est venue s’ajouter à une série d’autres scandales viticoles en Italie. Le «scandale du vin artificiel» dans les années soixante est resté dans les mémoires, de même que le «Brunellogate» de 2008.
De nos jours, heureusement, il n’y a plus de soucis à se faire quant aux vins italiens que l’on achète. D’une part parce que les scandales du vin ont entraîné des contrôles de plus en plus stricts, d’autre part parce que les peines de prison encourues sont suffisamment dissuasives pour décourager les éventuels contrevenants.
Dans toutes les catégories de prix, les vins italiens font partie des meilleurs au monde. Malheureusement, ce grand pays du vin a connu plusieurs scandales viticoles durant son histoire, dont celui
Le scandale du vin italien qui a secoué le monde entier
Il y a 15 ans, le très renommé Brunello di Montalcino, s’est retrouvé sous le feu des critiques. Nous vous disons tout sur le dénouement de ce drame à l’italienne et sur les conséquences pour cette appellation populaire.
Longtemps, l’ascension du Brunello di Montalcino a semblé irrésistible. Il y a encore 60 ans, ils étaient onze domaines à se partager un vignoble d’un peu plus de 60 ha. Aujourd’hui, sa superficie a atteint plus de 2000 ha et le nombre de producteurs plus de 250.
Cela n’a rien de surprenant quand on pense que ce vin à la robe rouge sombre issu du cœur de la Toscane se distingue par un profil unique, avec des arômes de griotte, une forte corpulence, une acidité bien présente et des tanins fins et abondants. Son caractère, le Brunello di Montalcino le doit pour beaucoup au cahier des charges rigoureux qui définit les conditions de sa production.
Dans les millésimes un peu plus froids, le Brunello, très tanique par nature, peut sembler encore plus rustique, au détriment du plaisir en bouche. Selon la législation, seul le cépage sangiovese peut entrer dans la production du Brunello di Montalcino.
Au début des années 2000, plusieurs journalistes dans le domaine du vin ont commencé à s’interroger à propos de certains vins de cette appellation: où étaient donc passés les arômes de petits fruits rouges, si caractéristiques du sangiovese? D’autres vins très précoces, exprimant des arômes de fruits noirs, presque compotés, ont contribué à nourrir le doute quant à l’utilisation exclusive de sangiovese.
Après plusieurs signalements, les autorités italiennes ont ouvert une enquête fin 2007 en toute confidentialité. Mais le scandale éclata au grand jour le 21 mars 2008, grâce à un article rédigé entre autres par le critique James Suckling.
L’enquête fut donc rendue publique et plusieurs producteurs de Brunello se virent accusés d’utiliser des cépages interdits. Ces pratiques illégales avaient pour objet de modifier le profil gustatif des vins afin de les rendre accessibles à un plus large public et ainsi d’augmenter les ventes.
Quand le journal italien L’Espresso enfonça le clou quelques semaines plus tard en annonçant qu’une vingtaine de producteurs de Brunello faisaient l’objet de soupçons concrets de fraude, c’est toute l’Italie du vin qui se retrouva sous le choc. Par la suite, plusieurs domaines décidèrent de déclasser les vins en question pour pouvoir les mettre sur le marché. Les prix étaient naturellement moins élevés sans l’appellation Brunello di Montalcino.
Bien que certains producteurs se soient vu refuser le droit de vinifier du Brunello, ce scandale n’a pas eu finalement l’ampleur attendue. Il n’a pas eu d’impact significatif sur la popularité des vins et aucune peine de prison de longue durée n’a été prononcée. Aujourd’hui, le scandale du Brunellogate n’est plus qu’un mauvais souvenir.
Il y a 15 ans, le très renommé Brunello di Montalcino, s'est retrouvé sous le feu des critiques. Nous vous disons tout sur le dénouement de ce drame à l'italienne et sur les conséquences pour...
Scandale viticole en Valais: «C’est le système que l’interprofession de la vigne et du vin du Valais dénonce depuis 10 ans.»
Le Ministère public met en accusation Cédric Flaction pour une fraude présumée massive à l’AOC Valais. Quatre questions à Yvan Aymon, président de l’interprofession de la vigne et du vin du Valais (IVV).
Comment réagissez-vous à la mise en accusation de Cédric Flaction et aux faits qui lui sont reprochés?
Pour nous, c’est d’abord une bonne nouvelle. Pour la première fois, on dispose d’un acte d’accusation qui dépeint le système que l’interprofession de la vigne et du vin du Valais dénonce depuis 10 ans.
Le Ministère public met en accusation Cédric Flaction pour une fraude présumée massive à l'AOC Valais. Quatre questions à Yvan Aymon, président de l'interprofession de la vigne et du vin du ...
11,8 millions de francs suisses (1franc suisse égale 1,05euro). C’est le chiffre d'affaires qu’aurait encaissé l’encaveur sédunois Cédric Flaction en vendant plusieurs centaines de milliers de litres de vins étrangers – ou hors quota – sous l’appellation AOC Valais. Lundi, Le Nouvelliste a dévoilé le contenu de l’acte d’accusation du Ministère public valaisan à l’encontre de l’œnologue, un proche de Dominique Giroud. Les infractions retenues contre le dirigeant de la Cave des Cailles Sàrl, à Chamoson, et de Flaction Sàrl, à Sion, «vont de faux dans les titres, à l’escroquerie en passant par la falsification de marchandises», énumère le quotidien.
Cédric Flaction, qui était membre du comité de l’interprofession de la vigne et du vin du Valais jusqu’à sa suspension en 2014 dans le sillage de l’affaire Giroud, aurait monté un système de fraude à grande échelle en ayant recours à des fausses factures et des fausses écritures de cave ou comptables – entre 2009 et 2016, au moins –, indique le Ministère public, qui a sorti l’artillerie lourde pour enquêter sur les pratiques opaques de l’encaveur: surveillance et placement en détention provisoire du prévenu, perquisitions et fouilles de cabinets de conseils financiers et caves ou encore échanges avec différentes banques de la place.
Le Ministère public reproche à Cédric Flaction d'avoir acheté des centaines de milliers de litres de vins étrangers avant de les revendre en Suisse sous l'appellation AOC Valais. "Le Nouvellis...
Un encaveur valaisan accusé d'avoir vendu du vin espagnol sous l'appellation "AOC Valais"
Dans le canton du Valais, un encaveur fait face à des accusations de fraude massive, révèle Le Nouvelliste. Il aurait vendu de grandes quantités de vins étrangers sous l'appellation "AOC Valais", générant près d'un million de francs de profit. Le procès se tiendra à Sion les 26 et 27 août prochain.
Le système astucieux et frauduleux, dévoilé au grand jour par le Ministère public, serait bâti sur des fausses factures et des fausses écritures de cave ou comptables pour masquer la provenance et la nature du vin vendu. Cela afin de déjouer les contrôles, tromper la confiance des clients et permettre le commerce illicite de plusieurs centaines de milliers de litres de vins, raconte lundi le Nouvelliste.
Cette escroquerie aurait permis à l'encaveur Cédric Flaction, qui bénéficie de la présomption d'innocence, d'encaisser au moins 11,8 millions de francs suisses (1franc suisse égale 1,05euro) entre 2009 et 2016, grâce à la vente de centaines de milliers de litres de vins étrangers sous l’appellation AOC Valais.
Plusieurs chefs d'inculpation
"Au total, huit factures, établies pour des prestations en cave ou de mise en bouteille notamment, ont permis de dissimuler la livraison de plus de 730'000 litres de vins espagnols (à 1,31 franc le litre) et de près de 105'000 litres de vins schaffhousois (à 3 francs le litre) en provenance de deux sociétés alémaniques", précise l'acte d'accusation, cité par le quotidien valaisan.
Sur cette base, le Ministère public accuse Cédric Flaction, en tant que dirigeant de la Cave des Cailles Sàrl et de Flaction Sàrl, de faux dans les titres, d'escroquerie, mais aussi de falsification de marchandises.
Au total, l'encaveur aurait créé plus de 50 fausses factures et 23 fausses écritures comptables. Des faux établis au nom d'une douzaine de caves valaisannes, concernant des livraisons de plus de 600'000 litres de vins AOC Valais qui n'ont en réalité jamais eu lieu.
Parmi les acheteurs principaux de ces vins contrefaits, on retrouve des poids lourds du commerce du vin en Suisse comme les Caves Garnier, propriétés de Fenaco, Mövenpick Wein ou encore Giroud Vins SA, relate le Nouvelliste.
Les vignerons valaisans "premières victimes" de cette fraude
"La justice a fait son travail", constate le président de l'Interprofession de la Vigne et du Vin du Valais (IVV) Yvan Aymon, interrogé mardi soir dans Forum. Il dit sa satisfaction de voir que "l'affaire avance", rappelant que l'IVV avait déposé une plainte en 2015. Il évoque "la déception et la grande rage" ressentie à ce moment.
Yvan Aymon estime que les vignerons valaisans sont les "premières victimes" de cette fraude, qui a fait baisser le prix de leur kilo de raisin, car "lorsqu'un vin est vendu plus bas, il tire le marché vers le bas".
Comment s'assurer que ce type de fraude ne se poursuive pas? Yvan Aymon cite notamment de nouvelles règles en vigueur, avec un unique organe de contrôle (le Contrôle suisse du commerce des vins), et des contrôles renforcés au niveau de la dégustation.
Dans le canton du Valais, un encaveur fait face à des accusations de fraude massive, révèle Le Nouvelliste. Il aurait vendu de grandes quantités de vins étrangers sous l'appellation "AOC Valai...
Fraude: Des milliers de litres de vins étrangers estampillés «AOC Valais»
Un encaveur est accusé de s'en être mis plein les poches en vendant du vin espagnol et schaffhousois, sous l'appellation d'origine contrôlée valaisanne. Il sera bientôt jugé.
Plus de 830'000 litres de vins étrangers vendus sous l'appellation «AOC Valais». Le tout, pour engranger un produit des ventes d'au moins 11,8 millions de francs suisses (1franc suisse égale 1,05euro). Ce sont là les reproches auxquels fait face un encaveur valaisan, dont l'acte d'accusation a été révélé mardi par «Le Nouvelliste». Le prévenu aurait agi entre 2009 et 2016, au nom de la Cave des Cailles, à Chamoson et de Flaction Sàrl, à Sion. Pour parvenir à ses fins, il aurait établi des fausses factures dans le but de falsifier l'origine de 730'000 litres de vins espagnols et de plus de 100'000 litres de vins schaffhousois. Une partie du nectar aurait ensuite été revendue, parfois mélangée à du vin valaisan, estampillée de l'appellation d'origine contrôlée. Du vin hors quota de production aurait également été vendu sous l'appellation.
Mais l'encaveur a fini par soulever des soupçons et l'Etat du Valais a déposé une plainte pénale en 2017. Moyennant entre autres des perquisitions, une surveillance technique et la détention provisoire de l'accusé, le Ministère public a ensuite investigué durant plusieurs années. Au final, selon le quotidien valaisan, des infractions allant «de faux dans les titres, à l’escroquerie en passant par la falsification de marchandises» ont été retenues à l'encontre de l'accusé. Il y fera face les 26 et 27 août prochain, lors de son procès, à Sion.
Un encaveur est accusé de s'en être mis plein les poches en vendant du vin espagnol et schaffhousois sous l'appellation d'origine contrôlée valaisanne.
L'encaveur valaisan Cédric Flaction, accusé de fraude à l'AOC Valais, a écopé lundi de 42 mois de prison ferme. Le Tribunal de Sion l'a jugé coupable d'avoir vendu, entre 2009 et 2016, plusie...
Vous pensiez boire un assemblage AOC Valais ? Il contenait peut-être du vin espagnol... L'acte d'accusation contre l'encaveur Cédric Flaction révèle des fraudes d'une envergure exceptionnelle. ...
Un encaveur valaisan condamné à 3 ans et demi de prison ferme pour fraude sur l'origine de ses vins
L'encaveur Cédric Flaction, accusé de fraude à l'AOC Valais, a écopé de 42 mois de prison ferme pour avoir vendu des centaines de milliers de litres de vins étrangers / 19h30 / 2 min. / hier à 19:30
L'encaveur valaisan Cédric Flaction, accusé de fraude à l'AOC Valais, a écopé lundi de 42 mois de prison ferme. Le Tribunal de Sion l'a jugé coupable d'avoir vendu, entre 2009 et 2016, plusieurs centaines de milliers de litres de vins étrangers, schaffhousois et hors quotas.
Cédric Flaction a été condamné pour "escroquerie, gestion déloyale, faux dans les titres et instigation à faux dans les titres", a indiqué la présidente de la Cour Sophie Bartholdi Métrailler lors de la lecture du jugement. Il s'agit de la plus lourde peine prononcée dans une affaire liée au monde viticole, en Valais.
Le Valaisan a été reconnu coupable d'avoir vendu, entre 2009 et 2016, plusieurs centaines de milliers de litres de vins étrangers, schaffhousois ou hors quotas sous l’appellation AOC Valais.
L'encaveur risquait 5 ans de prison
La partie plaignante - l'Etat du Valais - et le Ministère public avaient demandé cinq ans de prison ferme. La longueur de la procédure, les excuses du quinquagénaire envers les viticulteurs trompés et un casier judiciaire jusque-là vierge auront partiellement joué en sa faveur. L'accusé devra par ailleurs rembourser une somme de 1,94 million de francs, sous forme d'une créance compensatrice.
"J'attends les considérants du jugement. Je me réserve le droit de faire appel", a commenté l'encaveur en apprenant le verdict.
"Tricher était devenu banal"
Pour la Cour, l'encaveur a acquis plus de 730'000 litres de vins espagnols et quelque 130'000 litres de vins schaffhousois en provenance de deux sociétés alémaniques. Des achats qu'il a maquillés en intégrant dans sa comptabilité des fausses factures couvrant des prestations en cave, de mise en bouteilles ou du conseil.
"Tricher était devenu habituel et banal. Il n'a que très partiellement reconnu ses torts et n'a pas assumé ses actes", a résumé la présidente du Tribunal.
Un système bien rodé
Le prévenu "a eu recours à un édifice de mensonges et mis en place tout un système frauduleux, opaque et sophistiqué", avait affirmé, lors du procès, la procureure générale adjointe du canton du Valais Catherine Seppey. Lors de la lecture du jugement, la présidente du Tribunal a, elle, mis en exergues "un système mis en place pour dissimuler le vin en sa possession et pour usurper le label AOC Valais."
Pour assurer l'adéquation des stocks et pouvoir écouler ces vins, l'homme a produit 52 fausses factures ou écritures, au nom de caves valaisannes, qui lui auraient livré des vins AOC Valais. Si ces livraisons n'ont jamais eu lieu, elles ont permis à l'encaveur de rendre valaisan un vin qui ne l'était pas.
Avocat de l'Etat du Valais, Gilles Monnier s'est réjoui du jugement en soulignant "l'importance de ce verdict pour la branche vini-viticole. Il s'agit d'un verdict clair et ferme, qui prouve la solidité du dossier."
"Pour nous, ce qui était essentiel était d'avoir une condamnation significative et que les deux infractions principales, faux dans les titres et escroquerie par métier, soient reconnues par le tribunal", a encore relevé Gilles Monnier dans l'émission Forum.
Trois ans et demi de prison ferme pour l’encaveur valaisan Cédric Flaction, condamné pour escroquerie: interview de Gilles Monnier (vidéo) / Forum / 4 min. / hier à 18:00
"Une satisfaction" pour l'interprofession de la vigne et du vin
Pour Yvan Aymon, président de l'interprofession de la vigne et du vin du Valais, aussi interrogé dans Forum, ce verdict montre que "s'il y a fraude, c'est que le produit a de la valeur. Et cette valeur a été créée à la force du travail, de la sueur et de l'âme durant des décennies. Aujourd'hui, il y a une peine qui correspond à la reconnaissance de la valeur de ces AOC et de ceux qui les ont créées".
Cette première condamnation est "une satisfaction" et "on analyse la possibilité d'intervenir au civil pour récupérer une partie des pertes économiques dues à ces fraudes", conclut Yvan Aymon.
Une partie des faits reconnue
Durant son procès, le prévenu avait admis avoir établi de fausses factures et reconnu avoir vendu du vin valaisan hors quota sous le label AOC Valais. Mais il avait nié avoir vendu du vin schaffhousois ou du vin étranger sous ladite appellation.
La défense avait ainsi requis l'acquittement partiel de son client. Julien Ribordy estimait que celui-ci devrait uniquement être condamné pour falsification de marchandises et faux dans les titres. Le Tribunal ne l'a pas suivi.
Un Français a été mis en examen à Dijon, pour blanchiment et escroquerie en bande organisée, et un ressortissant russe, suspecté d’être la tête de réseau, «devrait être présenté prochainement en vue de son éventuelle mise en examen», a précisé le procureur de la République à Dijon, Olivier Caracotch.
L’homme de nationalité russe, âgé de 40 ans et déjà condamné pour des faits similaires sous une autre identité, est soupçonné d’avoir «permis la structuration d’une organisation transnationale de contrefaçon de vins de grande valeur, certaines bouteilles étant estimées à plus 15 000 euros sur le marché international», a ajouté le procureur dans un communiqué. Selon franceinfo, il s’agit notamment de fausses bouteilles de Romanée Conti, un tout petit domaine de Bourgogne dont le vin est l’un des plus chers du monde.
Son interpellation s’est effectuée au cours d’une transaction avec un imprimeur à l’aéroport de Malpensa (Milan).
Une opération judiciaire menée avec l’Italie
Ces mis en cause sont susceptibles d’être poursuivis pour association de malfaiteurs, contrefaçon, escroquerie en bande organisée, travail dissimulé et blanchiment du produit de ces infractions.
Le démantèlement du réseau a été rendu possible grâce à une «opération judiciaire d’ampleur» menée conjointement avec l’Italie, notamment avec les Carabinieri du Nucleo Antisofisticazioni e Sanità (NAS, brigade contrefaçon et santé) de Turin et de Milan.
En parallèle, avec l’appui technique de l’agence européenne de police criminelle Europol, des perquisitions ont été menées en région parisienne par les enquêteurs de la Section de recherches de la gendarmerie de Dijon et de la région de gendarmerie d'Ile-de-France.
L’opération, reposant sur la collaboration d’imprimeurs italiens pour la réalisation des étiquettes contrefaites, a permis la saisie de biens d’une valeur totale estimée à environ 2 millions d’euros, ce qui correspond au «produit infractionnel» tiré de ce trafic, selon le procureur.
Un Français et un Russe ont été mis en examen pour avoir vendu des fausses bouteilles de grands vins, notamment des Romanée Conti Une " organisation transnationale de contrefaçon de grands crus
Vin : les fraudeurs collaient de fausses étiquettes de grands crus, plus de 2 millions d'euros d'escroquerie, un réseau démantelé
73) Beaujolais
Beaujolais : un faussaire de cru condamné pour avoir mélangé plusieurs vins vendus comme du Moulin-à-Vent
Par A.S. , Le Figaro Lyon
Un vigneron producteur de Moulin-à-Vent a été condamné pour utilisation frauduleuse d’une appellation d'origine contrôlée, alors qu’il mélangeait différents vins dans des bouteilles étiquetées de ce cru prestigieux.
De fausses récoltes pour de faux crus
Les enquêteurs spécialisés de la gendarmerie et de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) avait mis en évidence un système généralisé intégrant de fausses déclarations de récoltes pour parfaire l’illusion, précise le journal local.
La martingale avait été découverte par les cousins du vigneron, actionnaires minoritaires de l’affaire familiale. Ils avaient remarqué des différences de rendement suspectes. Le sexagénaire a été condamné à quatre mois d’emprisonnement avec sursis. Il devra aussi afficher la décision de justice sur son domaine pendant deux mois.
Un vigneron producteur de Moulin-à-Vent a été condamné pour utilisation frauduleuse d'une appellation d'origine contrôlée, alors qu'il mélangeait différents vins dans des bouteilles étique...
Aubie-Espessas Guîtres Lapouyade Lugon Maransin Périssac Saint-Christophe-de-Double
Union des Caves des Hauts-de-Gironde (Guîtres) U.C.V.A. Coutras
ENTRE-DEUX-MERS
Blasimon Créon Cazaugitat Espiet Flaujagues Génissac Gironde Mesterrieux Monségur Nérigean Rauzan Romagne Ruch Sauveterre-de-Guyenne Saint-Pey-de-Castets Sainte-Radegonde Vayres
Union des Vignerons de Guyenne
U.C.V.A. Graves d'Ambarès
Union des Caves Coopératives de l'Entre-Deux-Mers (Saint-Vincent-de-Pertignas)
COTES DE SAINTE-FOY
Gensac Landerrouat La Roquille Les Lèves
SICA des Lèves
SICA de Landerrouat
Sauternes (toujours pas de construction prévue en 2018, voir cave de Tutiac)
MONBAZILLAC BERGERAC MONTRAVEL
Bergerac Le Fleix Monbazillac Cave des producteurs de Montravel Port-Sainte-Foy Saint-Martin-de-Gurçon Saint-Vivien-de-Vélines Sigoulès Villefranche-de-Lonchat
Unidor (union et centre d'embouteillage)
Beaupuy Buzet Cocumont Duras Goulens Cave des Sept Monts (Monflanquin)
BUZET-SUR-BAÏSE (Lot-et-Garonne) : La cave coopérative des "Vignerons réunis des Côtes de Buzet" a été créée en 1955.
En 1979 elle a vinifié 67 000 hectolitres de vins dont 37 000 hectolitres d'AOC côtes-de-buzet pour le compte de 519 adhérents cultivant 1 160 hectares de vignes.
" A sa fondation la cave coopérative comptait 112 adhérents qui exploitaient 235 hectares dont seulement 38 en VDQS (Une empreinte dans le vignoble - Philippe Roudié et Jean-Claude Hinnewinkel)
BUZET-SUR-BAÏSE (Lot-et-Garonne) : La cave coopérative des "Vignerons réunis des Côtes de Buzet"
5 mars 1970 En Lot et Garonne, présentation du vignoble de Buzet, appellation contrôlée dont la superficie du territoire vient de tripler. Il est passé de 8 à 27 communes. Le directeur de la c...
Dans le domaine féroce qu'est celui de la vitiviniculture, les Vignerons de Buzet s'unissent en faveur d'un travail qualitatif, moderne et authentique. Plus de détails 4e de couverture : L'histoire
Ce mois-ci, Côté Châteaux est dans le Lot-et-Garonne à la rencontre des vignerons de Buzet, vignerons de la coopérative et de l'appellation. Un focus sur leu...
Mardi 9 juillet, le tribunal de commerce d'Agen a maintenu la procédure de sauvegarde de la Cave de Buzet et repousse sa décision le 13 septembre. En attendant, la reconstruction de la coopérati...
Cave de Buzet : procédure de sauvegarde maintenue, prochain rendez-vous devant le tribunal de commerce d'Agen en septembre 2024
BÉGADAN (Gironde)
La Société Coopérative de Vinification de Bégadan a été créée en 1934. En 1979 elle a vinifié 27 704 hectolitres d'AOC médoc pour le compte de 177 adhérents cultivant 533 hectares de vignes.
Cave coopérative de Bégadan.
SAINT-PEY-DE-CASTETS (Gironde)
La cave coopérative de Saint-Pey-de-Castets a été créée en 1949. En 1979 elle a vinifié 41 493 hectolitres de vins dont 30 389 hectolitres d'AOC entre-deux-mers et bordeaux pour le compte de 192 adhérents cultivant 570 hectares de vignes.
SAINT-PEY-DE-CASTETS (Gironde) : la cave coopérative.
CRÉON (Gironde)
La Cave Coopérative de Créon a été créée en 1936. En 1979 elle vinifie 24 641 hectolitres d'AOC entre-deux-mers et bordeaux pour le compte de 150 adhérents cultivant 498 hectares de vignes.
La crise viticole n'en finit plus de faire des dégâts. Pour la première fois depuis 1936, la cave coopérative de Créon n'a pas vendangé un seul raisin. Entre des adhérents de moins en moins ...
RAUZAN (Gironde) La Cave Coopérative de Rauzan a été créée en 1933. En 1979 elle a vinifié 134 450 hectolitres de vins dont 98 982 hectolitres d'AOC bordeaux, bordeaux supérieur et entre-deux-mers pour le compte de 305 adhérents cultivant 1 715 hectares de vignes.
CAZAUGITAT (Gironde)
La Cave Coopérative de Cazaugitat a été créée en 1947. En 1979 elle a vinifié 22 642 hectolitres de vins dont 16 352 hectolitres d'AOC bordeaux et bordeaux entre-deux-mers pour le compte de 44 adhérents cultivant 231 hectares de vignes.
CAZAUGITAT (Gironde) : la cave coopérative.
CISSAC (Gironde)
La cave coopérative "La Vignuni" a été créée en 1935. En 1979 elle a vinifié 2 683 hectolitres de vins dont 2 187 hectolitres d'AOC haut-médoc pour le compte de 45 adhérents cultivant 40 hectares de vignes.
CISSAC (Gironde) : La cave coopérative "La Vignuni".
LISTRAC (Gironde)
La Cave de Vinification des Grands Vins de Listrac-Médoc a été créée en 1935. En 1979 elle a vinifié 8 469 hectolitres de vins dont 8 445 hectolitres d'AOC listrac et moulis ainsi que 24 hectolitres de vin de table (la "buvette des coopérateurs") pour le compte de 70 adhérents cultivant 140 hectares de vignes.
LISTRAC (Gironde) : La Cave de Vinification des Grands Vins de Listrac-Médoc.
" Fusionner, c'était une question de survie ": Christian Brun, président jusqu'à janvier dernier de la cave coopérative de Cussac Fort-Médoc, le dit sans embage. Devant l'érosion du nombre ...
MONBAZILLAC (Dordogne)
La cave coopérative de Monbazillac a été créée en 1940.
En 1979 elle a vinifié 45 771 hectolitres de vins dont 20 726 hectolitres d'AOC montbazillac, bergerac et côtes-de-bergerac pour le compte de 146 adhérents cultivant 733 hectares de vignes.
MONBAZILLAC (Dordogne) : la cave coopérative.
DOMME (Dordogne)
La cave coopérative de Domme a été créée en 1998.
Cave coopérative de Domme (Dordogne).
ORDONNAC (Gironde)
La Cave Coopérative d'Ordonnac a été créée en 1936.
En 1979 elle a vinifié 10 022 hectolitres de vins dont 8 777 hectolitres d'AOC médoc pour le compte de 83 adhérents cultivant 203 hectares de vignes.
ORDONNAC (Gironde) : la cave coopérative.
NÉRIGEAN (Gironde)
La Cave Coopérative Intercommunale de Nérigean et communes limitrophes a été créée en 1937. En 1979 elle a vinifié 35 897 hectolitres de vins dont 27 398 hectolitres d'AOC bordeaux et entre-deux-mers pour le compte de 128 adhérents cultivant 497 hectares de vignes.
NÉRIGEAN (Gironde) : La Cave Coopérative Intercommunale.
LANDERROUAT (Gironde)
La société coopérative vinicole de Landerrouat a été créée en 1936.
En 1979 elle a vinifié 62 593 hectolitres de vins dont 38 614 hectolitres d'AOC bordeaux, bordeaux sainte-foy, entre-deux-mers, bordeaux supérieur et côtes-de-duras pour le compte de 235 adhérents cultivant 847 hectares de vignes.
LANDERROUAT (Gironde) : La société coopérative vinicole.
FLAUJAGUES (Gironde)
La cave coopérative vinicole de Juillac et Flaujagues a été créée en 1935. En 1979 elle a vinifié 23 710 hectolitres de vins dont 15 821 hectolitres d'AOC bordeaux, bordeaux supérieur et entre-deux-mers pour le compte de 166 adhérents cultivant 346 hectares de vignes.
FLAUJAGUES (Gironde) : La cave coopérative vinicole de Juillac et Flaujagues.
LES LÈVES (Gironde)
La cave coopérative de vinification des Lèves a été créée en 1935.
En 1979 elle a vinifié 70 554 hectolitres de vins dont 42 682 hectolitres d'AOC bordeaux, bordeaux supérieur et bordeaux sainte-foy pour le compte de 167 adhérents cultivant 872 hectares de vignes.
LES LÈVES (Gironde) : la cave coopérative de vinification.
La coopérative viticole, dont le siège social est basé à Les Lèves-et-Thoumeyragues, a été placée sous la protection du tribunal de Libourne en date du 18 juillet " On espère tous que les ...
Date : 18 juillet 2024 Nature : Jugement d'ouverture d'une procédure de redressement judiciaire
GÉNISSAC (Gironde)
La cave coopérative vinicole de Génissac a été créée en 1936. En 1979 elle a vinifié 31 374 hectolitres de vins dont 27 788 hectolitres d'AOC bordeaux pour le compte de 114 adhérents cultivant 489 hectares de vignes.
GÉNISSAC (Gironde) : la cave coopérative vinicole.
BLASIMON (Gironde)
La cave coopérative intercommunale de Blasimon a été créée en 1935. En 1979 elle a vinifié 35 502 hectolitres de vins dont 22 421 hectolitres d'AOC entre-deux-mers, bordeaux et bordeaux supérieur pour le compte de 101 adhérents cultivant 468 hectares de vignes.
BLASIMON (Gironde) : La cave coopérative intercommunale.
GENSAC (Gironde)
La cave coopérative de Gensac a été créée en 1935. En 1979 elle a vinifié 49 806 hectolitres de vins dont 33 820 hectolitres d'AOC entre-deux-mers et bordeaux pour le compte de 129 adhérents cultivant 611 hectares de vignes.
GENSAC (Gironde) : la cave coopérative.
PÉRISSAC (Gironde)
La cave coopérative de Périssac a été créée en 1939. En 1974 elle a vinifié 21 865 hectolitres de vins dont 6 060 hectolitres d'AOCbordeaux pour le compte de 60 adhérents cultivant 276 hectares de vignes.
Suivant la méthode Coué, le cap est fixé : en 2020, la cave coopérative des Vignerons de Tutiac aura augmenté de 1 000 hectares leur potentiel de production (soit une hausse de 25 % par rappor...
Focus sur les vignerons de Tutiac. Des vignerons qui vivent en communauté au sein d'une coopérative depuis 1974. D'une quarantaine de membres à l'origine, ils sont aujourd'hui près de 500 à ...
Si tout se passe bien, " l'année prochaine il devrait y avoir une fusion à voter ! " lance, guilleret, Stéphane Héraud, le président des Vignerons de Tutiac, ce 26 avril à Marcillac, lors de ...
C'est " Un château en ville " qui a ouvert le bal il y a un an rue Saint-James. Aujourd'hui, Tutiac ouvre un tout nouveau Bar à Vin également central à Bordeaux : le Tutiac Direct Wine Bar. Com...
PUGNAC (Gironde)
La cave coopérative de Pugnac a été créée en 1935. En 1974 elle a vinifié 30 028 hectolitres de vins dont 9 074 hectolitres d'AOC côtes-de-bourg, premières-côtes-de-blaye et bordeaux pour le compte de 140 adhérents cultivant 406 hectares de vignes.
PUGNAC (Gironde) : la cave coopérative.
RUCH (Gironde)
la Cave Coopérative de Ruch a été créée en 1935.
En 1979 elle a vinifié 26 065 hectolitres de vins dont 25 630 hectolitres d'AOC bordeaux et bordeaux entre-deux-mers pour le compte de 103 adhérents cultivant 650 hectares de vignes.
RUCH (Gironde) : la cave coopérative.
ROMAGNE (Gironde)
La Cave Coopérative de Grangeneuve a été créée en 1936.
En 1979 elle a vinifié 45 697 hectolitres de vins dont 34 488 hectolitres d'AOC bordeaux et bordeaux entre-deux-mers pour le compte de 130 adhérents cultivant 583 hectares de vignes.
ROMAGNE (Gironde) : La Cave Coopérative de Grangeneuve.
SAINT-GERVAIS (Gironde)
La Cave Coopérative de Saint-Gervais a été créée en 1935. En 1979 elle a vinifié 22 232 hectolitres de vins dont 6 020 hectolitres d'AOC bordeaux et côtes-de-bourg pour le compte de 134 adhérents cultivant 341 hectares de vignes.
SAINT-GERVAIS (Gironde) : La Cave Coopérative.
SAINT-YZANS-DE-MÉDOC (Gironde)
La Cave Coopérative de Saint-Yzans-de-Médoc a été créée en 1934. En 1979 elle a vinifié 13 236 hectolitres de vin dont 11 042 hectolitres d'AOC médoc pour le compte de 104 adhérents.
SAINT-YZANS-DE-MÉDOC (Gironde) : La Cave Coopérative.
SAINTE-RADEGONDE (Gironde)
La Cave Coopérative de Sainte-Radegonde et communes environnantes a été créée en 1935. En 1979 elle a vinifié 49 500 hectolitres de vins dont 35 623 hectolitres d'AOC bordeaux et bordeaux entre-deux-mers pour le compte de 142 adhérents cultivant 648 hectares de vignes.
SAINTE-RADEGONDE (Gironde) : La Cave Coopérative.
Cave coopérative de Gaillan-en-Médoc (Gironde)
Saint-Seurin-de-Cadourne (Gironde)
La société coopérative de vinification de Saint-Seurin-de-Cadourne a été créée en 1935. En 1979 elle a vinifié 7 704 hectolitres de vins dont 6 390 hectolitres d'AOC haut-médoc pour le compte de 61 adhérents cultivant 119 hectares de vignes.
Cave coopérative de Saint-Seurin-de-Cadourne (Gironde).
SAINT-ESTÈPHE (Gironde)
La cave coopérative de Saint-Estèphe a été créée en 1934. En 1979 elle a vinifié 20 919 hectolitres d'AOC saint-estèphe pour le compte de 198 adhérents cultivant 302 hectares de vignes.
SAINT-ESTÈPHE (Gironde) : la cave coopérative.
VERTHEUIL (Gironde)
La Société Coopérative de Vinification de Vertheuil a été créée en 1935. En 1979 elle a vinifié 7 324 hectolitres de vins dont 6 240 hectolitres d'AOC médoc pour le compte de 86 adhérents cultivant 115 hectares de vignes.
VERTHEUIL (Gironde) : La Société Coopérative de Vinification.
MONSÉGUR (Gironde)
La cave coopérative de Monségur a été créée en 1935. En 1979 elle a vinifié 31 519 hectolitres de vins dont 18 008 hectolitres d'AOC bordeaux et entre-deux-mers pour le compte de 280 adhérents cultivant 483 hectares de vignes.
En 2024 elle compte encore 94 viticulteurs adhérents.
MONSÉGUR (Gironde) : la cave coopérative de Bordepaille.
LUGON (Gironde)
La cave coopérative intercommunale de Lugon a été créée en 1938. En 1979 elle a vinifié 52 895 hectolitres de vins dont 39 787 hectolitres d'AOC fronsac et bordeaux pour le compte de 242 adhérents cultivant 727 hectares de vignes.
LUGON (Gironde) : La cave coopérative intercommunale.
jc.galiacy@sudouest.fr De la vieille cuverie en béton remontant aux années 30 jusqu'aux monumentales cuves en inox postées dans un hangar voisin, près d'un siècle est passé. La cave de Lugon,...
LAMOTHE-MONTRAVEL (Dordogne)
La cave coopérative des producteurs de Lamothe-Montravel a été créée en 1935. En 1979 elle a vinifié 39 951 hectolitres de vins dont 27 136 hectolitres d'AOC bergerac, bordeaux, côtes-du-castillon, côtes-de-montravel pour le compte de 226 adhérents cultivant 601 hectares de vignes.
Cave coopérative de LAMOTHE-MONTRAVEL (Dordogne)
FRANCS (Gironde)
La cave coopérative intercommunale des côtes de Francs a été créée en 1951. Elle a vinifié, en 1979, 17 048 hectolitres de vins dont 13 630 hectolitres d'AOC bordeaux pour le compte de 110 adhérents cultivant 270 hectares de vignes.
Cave coopérative de FRANCS (Gironde)
COCUMONT (Lot-et-Garonne)
La cave coopérative intercommunale de Cocumont a été créée en 1957. En 1979 elle a vinifié 62 607 hectolitres de vins dont 13 851 hectolitres de VDQS côtes-du-marmandais et 699 hectolitres d'AOC bordeaux pour le compte de 430 adhérents cultivant 800 hectares de vignes.
Cave coopérative intercommunale de Cocumont.
PAUILLAC (Gironde)
La Société Coopérative de Vinification de Pauillac a été créée en 1933.
En 1979 elle a vinifié 5 971 hectolitres de vins dont 4 989 hectolitres d' AOC pauillac pour le compte de 116 adhérents cultivant 112 hectares de vignes.
Cave coopérative "La Rose Pauillac" créée en 1933.
Une vingtaine de petits viticulteurs réunis dans la cave coopérative La Rose Pauillac produisent entre 80 000 et 100 000 bouteilles. Entourés de grands crus sur une appellation prestigieuse, ils...
La Société Agricole de Vinification de Prignac-en-Médoc a été créée en 1950.
En 1979 elle a vinifié 15 064 hectolitres de vins dont 11 984 hectolitres d' AOC médoc pour le compte de 180 adhérents cultivant 360 hectares de vignes.
Cave coopérative de Prignac-en-Médoc.
QUEYRAC (Gironde)
La Société Coopérative Vinicole de Queyrac a été créée en 1939.
En 1979 elle a vinifié 5 747 hectolitres de vins dont 3 196 hectolitres d' AOC médoc pour le compte de 165 adhérents cultivant 159 hectares de vignes.
À Gaillan-Médoc, les producteurs de vins sont regroupés au sein de la coopérative Uni-Médoc. Cette association exploite les vignes dans le cadre de l’AOC Médoc et représente les premiers producteurs en Médoc.
Le regroupement de caves coopératives vinicoles du canton de Lesparre-Médoc est créé en 1966, pour faciliter la commercialisation des vins et l’exportation de la production. Quatre sites d’exploitation des récoltes, Bégadan, Gaillan-en-Médoc, Prignac-en-Médoc et Queyrac, forment actuellement une seule cave coopérative, située à Gaillan.
Cave coopérative de Queyrac et cave Uni-Médoc à Gaillan.
SAINT-SAUVEUR (Gironde)
La Coopérative de Saint-Sauveur a été créée en 1934.
En 1979 elle a vinifié 6 992 hectolitres de vins dont 6 015 hectolitres d'AOC haut-médoc pour le compte de 77 adhérents cultivant 112 hectares de vignes.
Cave coopérative de Saint-Sauveur
PUISSEGUIN (Gironde)
La cave coopérative de Puisseguin-Lussac a été créée en 1937.
En 1979 elle a vinifié 35 758 hectolitres de vins dont 34 506 hectolitres d'A.O.C. puisseguin, lussac-saint-émilion et bordeaux pour le compte de 179 adhérents cultivant 570 hectares de vignes.
lus coopérative que volatile, la cave des Vignerons de Puisseguin Lussac Saint-Émilion (VPLSE) assume invariablement les fraudes qui lui sont reprochées depuis 2016. En témoigne l'audience ce 1...
SAINT-ÉMILION (Gironde)
La Cave Coopérative de "Saint-Émilion - Union des producteurs" a été créée en 1932.
En 1979 elle a vinifié 62 667 hectolitres de vins dont 61 700 hectolitres d' AOC saint-émilion pour le compte de 335 adhérents cultivant 958 hectares de vignes.
Cave coopérative de Saint-Émilion.
MONTAGNE (Gironde)
La Société Coopérative de Montagne a été créée en 1935.
En 1979 elle a vinifié 5 150 hectolitres d' AOC montagne-saint-émilion pour le compte de 69 adhérents cultivant 180 hectares de vignes.
Evoqué depuis des années, le rapprochement des coopératives du Libournais va se concrétiser cet été, comme vient de le dévoiler le Sud Ouest . Mais cette fusion n'aura pas la forme initialem...
La cave coopérative de Gauriac a été créée en 1934.
En 1979 elle a vinifié 9 677 hectolitres de vins dont 6 918 hectolitres d' AOC côtes-de-bourg pour le compte de 56 adhérents cultivant 167 hectares de vignes.
Cave coopérative de Gauriac.
TAURIAC (Gironde) : la cave coopérative de Tauriac- Pont-du-Moron a été créée en 1935. En 1979 elle a vinifié environ 28 000 hectolitres de vins dont 20 000 hectolitres d'AOC côtes-de-bourg et bordeaux pour le compte de 171 adhérents cultivant 450 hectares de vignes.
Cave coopérative de Tauriac.
LANSAC (Gironde) : la cave coopérative intercommunale de Lansac a été créée en 1936. En 1974 elle a vinifié 16 740 hectolitres de vins dont 11 307 hectolitres d'AOC blaye, côtes-de-bourg et bordeaux pour le compte de 90 adhérents cultivant 216 hectares de vignes.
ANGLADE (Gironde)
La cave coopérative d'Anglade a été créée en 1948. En 1979 elle a vinifié 26 111 hectolitres de vins dont 13 629 hectolitres d'AOC blaye et bordeaux pour le compte de 84 adhérents cultivant 317 hectares de vignes.
BOURG-SUR-GIRONDE
La cave coopérative La Vinifera a été créée en 1936. En 1979 elle a vinifié 8 936 hectolitres de vins dont 7 307 hectolitres d'AOC côtes-de-bourg et bordeaux pour le compte de 81 adhérents cultivant 131 hectares de vignes.
CARS (Gironde)
La cave coopérative du Blayais a été créée en 1937. En 1979 elle a vinifié 10 167 hectolitres d'AOC blaye et bordeaux pour le compte de 78 adhérents cultivant 201 hectares de vignes.
GÉNÉRAC (Gironde)
La cave coopérative de Générac a été créée en 1934.
En 1979 elle a vinifié 27 570 hectolitres de vins dont 12 765 hectolitrs d'AOC blaye et bordeaux pour le compte de 136 adhérents cultivant 370 hectares de vignes.
SAINT-VIVIEN-DE-BLAYE (Gironde)
La cave coopérative "Union des Producteurs de Vins" a été créée en 1937.
En 1979 elle a vinifié 7 658 hectolitres de vins dont 2 597 hectolitres d'AOC blaye et bordeaux pour le compte de 44 adhérents cultivant 118 hectares de vignes.
AUBIE-et-ESPESSAS (Gironde)
La cave coopérative d'Aubie-et-Espessas a été créée en 1939.
En 1979 elle a vinifié 13 703 hectolitres de vins dont 4 232 hectolitres d'AOC bordeaux pour le compte de 79 adhérents cultivant 186 hectares de vignes.
GUÎTRES (Gironde)
La cave coopérative intercommunale de Guîtres a été créée en 1937.
En 1979 elle a vinifié 18 630 hectolitres de vins dont 5 522 hectolitres d'AOC bordeaux pour le compte de 160 adhérents cultivant 345 hectares de vignes.
Caves coopératives. Se rapprocher pour mieux peser - Confrontées à une baisse des prix sur le marché de l'entrée de gamme, les caves coopératives accélèrent le mouvement d'union ou de fusio...
LAPOUYADE (Gironde)
La société coopérative vinicole de Lapouyade et Tizac a été créée en 1939.
En 1979 elle a vinifié 15 900 hectolitres de vins dont 1 613 hectolitres d'AOC blayais et bordeaux pour le compte de 104 adhérents cultivant 255 hectares de vignes.
MARANSIN (Gironde)
La société coopérative vinicole de Landournerie Maransin a été créée en 1936.
En 1979 elle a vinifié 34 499 hectolitres de vins dont 3 988 hectolitres d'AOC bordeaux pour le compte de 128 adhérents cultivant 439 hectares de vignes.
SAINT-CHRISTOPHE-DE-DOUBLE (Gironde)
La cave coopérative de Saint-Christophe-de-Double a été créée en 1939.
En 1979 elle a vinifié 9 702 hectolitres de vins dont 5 769 hectolitres d'AOC bordeaux pour le compte de 137 adhérents cultivant 181 hectares de vignes.
ESPIET (Gironde)
La cave coopérative d'Espiet a été créée en 1932.
En 1979 elle a vinifié 48 044 hectolitres de vins dont 31 428 hectolitres d'AOC bordeaux et entre-deux-mers pour le compte de 130 adhérents cultivant 820 hectares de vignes.
Cave coopérative d'Espiet.
GIRONDE-SUR-DROPT (Gironde)
La cave coopérative "La Girondaise" a été créée en 1933.
En 1979 elle a vinifié 38 475 hectolitres de vins dont 23 330 hectolitres d'AOC bordeaux, entre-deux-mers et côtes-de-bordeaux-saint-macaire pour le compte de 145 adhérents cultivant 496 hectares de vignes.
SAUVETERRE-DE-GUYENNE (Gironde)
La cave coopérative intercommunale de vinification de Sauveterrre-de-Guyenne a été créée en 1935.
En 1979 elle a vinifié 9 702 hectolitres de vins dont 5 769 hectolitres d'AOC bordeaux pour le compte de 137 adhérents cultivant 181 hectares de vignes.
Vendredi 16 février, les adhérents des caves de Sauveterre-Blasimon et de Baron d'Espiet ont voté lors de leurs assemblées générales extraordinaires la fusion des deux entités qui prend effe...
VAYRES (Gironde) La cave coopérative vayraise a été créée en 1934. En 1979 elle a vinifié 19 000 hectolitres d'A.O.C. bordeaux et graves-de-vayres pour le compte de 80 adhérents cultivant 280 hectares de vignes.
Cave coopérative de Vayres.
MESTERRIEUX (Gironde)
La cave coopérative "Les coteaux d'Albret" a été créée en 1935.
En 1979 elle a vinifié 27 629 hectolitres de vins dont 18 280 hectolitres d'AOC bordeaux et entre-deux-mers pour le compte de 130 adhérents cultivant 398 hectares de vignes.
Cave coopérative de Mesterrieux.
CIVRAC-de-BLAYE (Gironde)
La cave coopérative " Hauts de Gironde " a été créée en 1974.
En 1979 elle a vinifié 65 000 hectolitres de vins dont 10 50 hectolitres d'AOC côtes-de-blaye et bordeaux pour le compte de 200 adhérents cultivant 1 000 hectares de vignes.
LA ROQUILLE (Gironde)
La cave coopérative intercommunale de Sainte-Foy-la-Grande a été créée en 1940. En 1979 elle a vinifié 19 350 hectolitres de vins dont 14 681 hectolitres d'AOC bordeaux, bordeaux-sainte-foy, bordeaux supérieur et côtes-de-duras pour le compte de 65 adhérents cultivant 276 hectares de vignes.
SAINT-PIERRE-D'AURILLAC (Gironde)
La cave coopérative vinicole du syndicat des caves de Bordeaux - Saint-Macaire a été créée en 1932.
En 1979 elle a vinifié 19 926 hectolitres de vins dont 14 492 hectolitres d'AOC bordeaux et côtes-de-bordeaux saint-macaire pour le compte de 58 adhérents cultivant 320 hectares de vignes.
LANGOIRAN (Gironde)
La cave coopérative "Le Cellier de Graman" a été créée en 1967.
En 1979 elle a vinifié 23 117 hectolitres de vins dont 22 246 hectolitres d'AOC bordeaux, cadillac et graves pour le compte de 80 adhérents cultivant 400 hectares de vignes.
QUINSAC (Gironde)
La cave coopérative de vinification de Quinsac-Village a été créée en 1949.
En 1979 elle a vinifié 20 548 hectolitres de vins dont 19 895 hectolitres d'AOC bordeaux, bordeaux clairet et premières côtes-de-bordeaux pour le compte de 142 adhérents cultivant 380 hectares de vignes.
BEAUPUY (Lot-et-Garonne)
La société coopérative vinicole des côtes du marmandais a été créée en 1948. En 1979 elle a vinifié 53 860 hectolitres de vins dont 8 630 hectolitres de VDQS côtes-du-marmandais pour le compte de 510 adhérents cultivant 800 hectares de vignes.
GOULENS-EN-BRULHOIS (Lot-et-Garonne) La cave coopérative de Goulens a été créée en 1957. En 1979 elle a vinifié 30 390 hectolitres de vins de table pour le compte de 630 adhérents cultivant 580 hectares de vignes.
DURAS (Lot-et-Garonne)
La cave coopérative des vignerons des coteaux de Duras a été créée en 1960. En 1979 elle a vinifié 16 806 hectolitres de vins dont 13 416 hectolitres d'AOC côtes-de-duras pour le compte de 102 adhérents cultivant 347 hectares de vignes.
MONTFLANQUIN (Lot-et-Garonne) La cave des sept monts a été créée en 1972. En 1979 elle a vinifié 7 900 hectolitres de vins de table pour le compte de 130 adhérents cultivant 120 hectares de vignes.
BERGERAC (Dordogne)
La cave coopérative "Les viticulteurs réunis de Bergerac" a été créée en 1951.
En 1979 elle a vinifié 19 955 hectolitres de vins dont 13 380 hectolitres d'AOC bergerac, côtes-de bergerac et pécharmand pour le compte de 151 adhérents cultivant 357 hectares de vignes.
LE FLEIX (Dordogne)
La cave coopérative du Fleix a été créée en 1940.
En 1979 elle a vinifié 42 804 hectolitres de vins dont 23 637 hectolitres d'AOC bergerac, bordeaux, côtes-de-montravel pour le compte de 411 adhérents cultivant 602 hectares de vignes.
PORT-SAINTE-FOY (Dordogne) La cave coopérative intercommunale de Port-Sainte-Foy a été créée en 1935.
En 1979 elle a vinifié 50 252 hectolitres de vins dont 31 733 hectolitres d'AOC bergerac et côtes-de-montravel pour le compte de 195 adhérents cultivant 740 hectares de vignes.
La cave de Port-Sainte-Foy ne passe pas le millésime 2018
Faute de rapprochement avec Univitis ou de reprise par Ampelidae, la coopérative est en liquidation. Ses anciens adhérents ont rejoint d’autres caves, tandis que ses vignes en propre sont à l’abandon.
La menace pesait depuis plusieurs mois. Le tribunal de grande instance de Bergerac (Dordogne) a prononcé, la semaine dernière, la liquidation judiciaire de l' Union des viticulteurs de ...
SAINT-MARTIN-DE-GURSON (Dordogne)
La cave coopérative "La Grappe de Gurson" été créée en 1939.
En 1979 elle a vinifié 24 360 hectolitres de vins dont 14 216 hectolitres d'AOC bergerac et côtes-de-montravel pour le compte de 169 adhérents cultivant 398 hectares de vignes.
SAINT-VIVIEN (Dordogne)
La cave coopérative vinicole de Saint-Vivien et Bonneville a été créée en 1935.
En 1979 elle a vinifié 38 689 hectolitres de vins dont 24 049 hectolitres d'AOC bergerac et montravel pour le compte de 217 adhérents cultivant 513 hectares de vignes.
SIGOULES (Dordogne)
La cave coopérative de la région de Sigoulès a été créée en 1939.
En 1979 elle a vinifié 81 492 hectolitres de vins dont 34 650 hectolitres d'AOC bergerac, côtes-de-saussignac, côtes-de-duras et montbazillac pour le compte de adhérents cultivant 982 hectares de vignes.
C'est la cave de Sigoulès qui a été élue ce jeudi matin " meilleur vigneron de l'année" au concours des vins de la région de Bergerac. La cave est récompensée pour un liquoreux, un vin de ...
VILLEFRANCHE-DE-LONCHAT (Dordogne)
La cave coopérative de Villefranche-de-Lonchat et Minzac a été créée en 1939.
En 1979 elle a vinifié 19 500 hectolitres de vins dont 12 249 hectolitres d'AOC bergerac et bordeaux pour le compte de 140 adhérents cultivant 320 hectares de vignes.
Avec la signature de ses statuts ce 29 juin, la cave coopérative de Sauternes est officiellement née. Baptisée Sauternes Vignerons, elle réunit 15 membres fondateurs, " un nombre appelé à s'...
10/07/2015 à 10:02 par ebourribon Voilà quelques mois que le projet de cave coopérative de Sauternes était dans les tuyaux. La structure, baptisée Sauternes Vignerons, est officiellement cré...
UNIVITIS reconnu Groupement de Producteurs a été créé en 1984 à l’issue de la transformation d’une SICA originellement créée en 1973.
En 2008, l’union UNIVITIS et les caves adhérentes : Cave des Lèves/Saint-André/La Roquille, des Côtes de Gensac et des Graves de Vayres (Gironde), de Villefranche de Lonchat (Dordogne) fusionnent et deviennent une seule entité juridique avec un statut de Société Coopérative Agricole.
Au 1er Septembre 2014, la Cave de Flaujagues rejoindra la Cave Univitis au travers d’une fusion.
La coopérative viticole, dont le siège social est basé à Les Lèves-et-Thoumeyragues, a été placée sous la protection du tribunal de Libourne en date du 18 juillet " On espère tous que les ...
30 août 2024. Toujours la même propriété. Vigne abandonnée, vectrice de maladies pour les voisins (dont la flavescence dorée). Oïdium sur feuilles, sur bois, sur grappes. Enherbement et envahissement par les inules visqueuses.
Une des vignes du Domaine de Sainte Luchaire le 2 juin 2024 (photographies prises depuis la route départementale).
Vigne (carignan) du domaine de Sainte Luchaire (M. Martino) après deux années sans taille, sans travail du sol, sans désherbage mécanique ou chimique et sans prévention phytosanitaire malgré les obligations préfectorales liées à la lutte contre la flavescence dorée. Photographies prises le 4 mai 2024.
Cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « MINERVOIS » homologué par le décret n°2011-1546 du 14 novembre 2011, JORF du 17 novembre 2011 (extraits)
VI. - Conduite du vignoble
e) - Seuils de manquants - Le pourcentage de pieds de vigne morts ou manquants, visé à l’article D. 645-4 du code rural et de la pêche maritime, est fixé à 20 %. f) - état cultural de la vigne Les parcelles sont conduites afin d’assurer un bon état cultural global de la vigne, notamment son état sanitaire et l’entretien de son sol.
En aucun cas le mot Minervois (AOP) ne doit apparaître sur l'étiquetage d'un vin de pays (IGP). Et pourtant...
Le point de vue de l'INAO : il n’est pas possible de faire référence à une AOP (sur une bouteille IGP) sur le tour de bouteille ou pour le nom du site internet. Les services de la DGCCRF sont compétents en la matière : https://www.economie.gouv.fr/contact/contacter-la-dgccrf
Dans le Minervois, mais aussi ailleurs, lorsqu'un domaine viticole n'intervient plus et laisse ses vignes à l'abandon, lorsque les herbes, les plantes semi-ligneuses et ligneuses ainsi que les arbres envahissent les vignes, lorsqu'il n'y a donc plus une seule grappe de raisin saine et vinifiable, on appelle cela de l'agroforesterie. Mais que font donc l'ODG Minervois et l'organisme d'inspection des AOC ? On peut se poser la question.
"Agroforesterie"
Sur la commune d'Aigne, Le domaine de Sainte Luchaire (aucune sainte au monde n'a jamais porté ce nom), appartenant depuis quelques années à M. Martino, est à l'abandon. Photographies prises le 13 avril 2023. La taille n'a été effectuée sur aucune des vignes de la propriété. Aucun travail du sol n'a été réalisé depuis les vendanges. Quinze hectares vont retourner à l'état de friches, avec la complicité de la SAFER.
Photographies prises le 13 avril 2023. La taille n'a été effectuée sur aucune des vignes du domaine. Au 8 août aucune intervention n'a été effectuée. Les vignes sont abandonnées et retournées à l'état de friche.s.
Photographies prises le 23 septembre 2023. Aucune des vignes (15 hectares) n'a été vendangée.
Vignes à l'abandon du Château Coupe-Roses (coupe-ronces ?) à La Garrigue (La Caunette) - 24 avril 2023
En 2014 mais aussi en 2015, le Chai du Port est fermé "la" dimanche, toute l'année, mais aussi le samedi du 1er octobre au 30 avril. Les chalands trouvent donc souvent porte close lors de leurs pérégrinations le long du Canal du Midi. Les vignerons adhérents qui financent ce magasin s'en soucient-ils ?
Cette Saison 2013 marque une grande étape dans la vie du Chai.
Il y a de ça quelques années, nous étions dans les premiers à proposer pour notre Appellation Minervois, un site Internet afin de commercialiser nos produits. Mais les années passent et ce dernier ne nous permet plus désormais de vous satisfaire au mieux.
Voici donc pour vous le fruit d'un long travail !
En effet, nous avons souhaité vous offrir un site :
encore plus complet (fiche techniques des vins et des Domaines),
plus facile d'utilisation(plate-forme réactualisée),
plus ergonomique
et surtout, qui nous permettra de mettre en avant les vins de nos vignerons de la plus belle des façonqu'il soit !
Nous espérons sincèrement que tous ces changements sauront vous satisfaire et attendons avec impatience vos impressions. Car, ne l'oubliez pas, si nous existons, nous vous le devons en grande parti et c'est vous qui nous aiderais à construire l'avenir du Chai.
Pris par le temps, nous avons cherché à vous proposer le mieux dans les plus brefs délais. De ce fait, il se peut que certains petits défauts apparaissent. Du coup, n'hésitez pas à nous solliciter pour nous en faire part (par téléphone ou par mail).
Afin d'utiliser le nouveau système, vous devrez faire une petite manipulation très simple :
lorsque vous allez vous connecter à votre compte, il vous suffit de faire comme si vous aviez perdu ou oublier votre mot de passe et de cliquer sur le lien qui vous permet d'en obtenir un autre. Un email va vous être envoyé et il vous suffira de vous connecter de nouveau à travers ce dernier.
Espérant que nos explications vous ont été claires. Il ne me reste plus qu'à vous souhaitez à toutes et à tous une très bonne visite et de bonnes dégustations à venir.
Merci de votre compréhension et merci de nous faire confiance.
En 2014 c'est Château Cabezac et la Dépêche du Midi qui donnent l'exemple avec un drôle de charabia. Les responsables de la "com" de Cabezac ne connaissent apparemment pas la langue française et le journaleux local effectue du copié-collé de cette bouillie.
Bize-Minervois. Château Cabezac dans les médias
Publié le 07/01/2014 à 03:48 | 1
Cette année a été entièrement refait le site internet
www.chateaucabezac.com avec informations, offres et boutique en ligne.
A aussi été développé notre page facebook et plus de 500 «j’aime»: www.facebook.com/chateaucabezac; Et Chateau Cabezac a fait nos premiers pas sur twitter www.twitter.com/chateaucabezac
Par ailleurs est développé un projet photographique avec le photographe Claude Cruells tout au long de l’année qui a fait des magnifiques photos de la domaine, les vendanges, les vins et le terroir.Finalement, a été fait un film institutionnel avec Campagne TV qui sera diffusé en 2014, affaire à suivre !
Culture "biologique" à La Prade. Il faut chercher les pieds de vigne sous les féverolles et éviter de dénombrer les manquants. Photographies prises le 9 avril 2017.
Photographies prises le 9 avril 2017.
Cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « MINERVOIS » homologué par le décret n°2011-1546 du 14 novembre 2011, JORF du 17 novembre 2011 (extraits)
VI. - Conduite du vignoble
e) - Seuils de manquants - Le pourcentage de pieds de vigne morts ou manquants, visé à l’article D. 645-4 du code rural et de la pêche maritime, est fixé à 20 %. f) - état cultural de la vigne Les parcelles sont conduites afin d’assurer un bon état cultural global de la vigne, notamment son état sanitaire et l’entretien de son sol.
Présence de vivaces (genêts d'Espagne, chênes verts, filaires et asparagus) dans une parcelle (grenache noir) d'un domaine nouvellement repris sur la commune d'Aigne. Photographies prises le 30 août 2018. Photographie aérienne prise en juin 2017.
Présence de vivaces (genêts d'Espagne, chênes verts, filaires et asparagus) dans une parcelle (grenache noir) d'un domaine nouvellement repris (Sainte Luchaire) sur la commune d'Aigne. Photographies prises le 30 août 2018. Photographie aérienne prise en juin 2017.
Étiquetage non conforme ?
1) Le chai des Chartrons est le nom d'un caviste bordelais. Les Chartrons sont un quartier de Bordeaux, traditionnel centre du commerce des vins. Bien que Chartron soit le patronyme du propriétaire, toute référence à une autre appellation que l'AOC Minervois est interdite.
2) Cahier des charges de l'AOC Minervois : "les vins proviennent de l'assemblage de raisins, de moûts ou de vins , issus au moins de deux cépages dont un cépage principal. Un seul de ces cépages ne peut représenter plus de 80%."
L'oeuvre agricole française en Algérie 1830 - 1962 Amicale des anciens élèves des écoles d'agriculture d'Algérie - 1990 ISBN 2-86442-020-1 Éditions de l'Atlanthrope
DATES DE CRÉATION DES CAVES COOPÉRATIVES ALGÉRIENNES
(départements français jusqu'en 1957)
"En 1928, 92 caves avaient été mises en service dont 59 dans l'Algérois, 13 dans l'Oranais et 20 dans le Constantinois. Ce chiffre atteignit 188 en 1959 dont 94 pour le département d'Alger, 78 pour le département d'Oran et 16 pour le département de Constantine."
Source : Wikipedia
Annuaire Général des vins, champagnes, eaux-de-vie, alcools et sous-produits des coopératives vinicoles françaises - 1947
Edition de la Confédération Nationale des Caves Coopératives et de la Fédération Nationale des Distilleries Coopératives
Cave coopérative de Damous (Dupleix), la première créée en Algérie, en 1905. Elle a vinifié 2 300 hectolitres de vins en 1905 puis 4 950 hectolitres en 1909.
Cave coopérative de Gouraya, créée en 1907.
Cave coopérative de Novi (Sidi Ghiles) créée vers 1908.
Cave coopérative de Fouka, créée en 1927.
Cave coopérative de Sainte-Léonie (El Maghoun) construite en 1932.
Cave coopérative de Aïn El Turck créée en 1934.
Cave coopérative de Oued-El-Alleug, créée en 1924.
Cave Coopérative de Port-Gueydon (Azzefoun) : 1932
Cave coopérative de Saint-Leu (Bethioua)
Cave coopérative de Rivet (Meftah)
Cave coopérative de Hammam-Bou-Hadjar créée en 1930.
Cave coopérative de Paul-Robert (Taougrite).
Cave coopérative de Fondouk (Kkemis El Khechna) créée en 1932.
Cave coopérative de Lavigerie (Djendel).
Cave coopérative de Fontaine-du-Génie (Hadjeret Ennous).
Cave coopérative de Thiersville (Ghriss) créée en 1929.
Cave coopérative de Frenda créée en 1935.
Cave coopérative de El Affroun créée en 1924.
Cave coopérative de Ameur-El-Aïn.
Cave coopérative de Le Telagh.
Cave coopérative de Renault (Sidi M’Hamed Ben Ali)
Cave coopérative de Birkadem et Birmandreis.
Cave coopérative de Descartes (Ben Badis) :1932.
Cave coopérative de Duperré (Aïn Defla)
Cave coopérative de Fromentin.
Cave coopérative de Sidi Abdelli : 1923
Cave coopérative de Lapasset.
Cave coopérative de Marceau (Menaceur).
Cave coopérative de Marengo (Hadjout).
Cave coopérative de Hennaya.
Cave coopérative de Bordj Menaïel.
Cave coopérative d'Orléansville.
Cave coopérative de Oued Taria.
Cave coopérative de Perrégaux (Mohammadia)
Cave coopérative de Parmentier (Aïn-el-Hadjar) créée en 1936.
Cave coopérative de Bourkika.
Cave coopérative de Tounin (Kheir Dine)
Cave coopérative de Saint-Ferdinand (Souidania)
Cave coopérative de Zerizer
Cave coopérative de Mondovi.
Cave coopérative de Tassin, cuves de fermentation.
Cave coopérative de Sainte-Barbe-du-Tlelat (Oued Tlelat) : 1959
Cave coopérative de Kherba créée en 1930.
Encarts publicitaires 1947.
Publicités matériel et fournitures oenologiques 1947.
Publicités presse algérienne 1947.
Société coopérative vinicole de Saint-Leu (Bethioua)
La coopérative vinicole
Vers la fin de 1929, un groupe de viticulteurs de Saint-Leu se réunissait à la Mairie et fondait une Société ayant pour objet la création d'une cave coopérative. La première pierre sera posée le 21 janvier 1930 par le Président-FondateurOctave LALLEMANDet Bertrand ROUBINEAU Vice Président.
Les coopérateurs étaient sept à l'origine, on en compta rapidement soixante-sept! Prévue pour recevoir 15 000 hectolitres la Cave devra être agrandie et en recevra 60 000. Parmi les meilleurs d'Oranie, les vins font en moyens 12°5 ; ils obtiennent une médaille d'Or à l'Exposition Coloniale Internationale de 1931. La Société a installé aux abords immédiats de la Cave une distillerie moderne permettant de traiter les vins et les marcs. Le Conseil d'Administration a pour devise << Toujours mieux faire>>
Source :Extrait partiel Revue P.N.H.A n°133 - Les grands Vins d'Oranie Numéro spécial de l'Afrique du Nord illustrée Edition L.FOULQUIE-ORAN- www.passerieux.com/historique.html
Le président algérien Abdelmadjid Tebboune était attendu en France depuis des mois à l'invitation d'Emmanuel Macron... D'abord programmée pour le début du mois de mai, la visite du chef d'Ét...
TV Libertés, 1ère chaîne de réinformation, vous donne rendez-vous chaque jour à 19 heures pour son journal d'actualité, ses reportages et ses interviews.
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« Au rythme actuel de baisse de plus de cent mille hectolitres par mois, la consommation des vins de table sonne le glas d’une époque pour les 1158 caves coopératives françaises (le dernier recensement – 1979/1980 – dénombrait 236 900 exploitations viticoles, avec, pour moitié, des vignerons regroupés en coopératives). Tous les mois, c’est le potentiel de production de deux caves coopératives languedociennes qui disparaît. Un véritable désastre pour le Midi qui produit encore 90 % des vins de table, et seulement 10 % des vins d’appellation qui, eux, demeurent en constante progression » (pp. 185-186). Extrait de :
GAUTIER J.-F., 1989. Le vin à travers les âges. De la mythologie à l’œnologie. Préface de Jean-Marie Auby. Avant-propos de Louis Cartou. Ed LCF, Bordeaux, 250 p.
Sources :
Revue de Viticulture Tome XXXIV 1910 (juillet à décembre) - La coopération en viticulture dans le département d'Alger - Roger Marès.
Adrien Berget - La pratiques des vins - Félix Alcan éditeur, Paris - 1899
Adrien Berget - La Coopération dans la viticulture européenne - 1902
Léonce Mandeville de Régismont - Etude sur les sociétés coopératives de vinification du Midi de la France - 1915
Misaël GERVAIS, 1914. La coopération en viticulture ; rapports et personnalité respective de l’individu et du groupe. Ed. J.-B. Baillière, Paris, 313 p. [Thèse pour le doctorat ès sciences politiques et économiques, Université de Montpellier, Faculté de Droit, 1913].
Gaston GALTIER, Le vignoble du Languedoc méditerranéen et du Roussillon - Étude comparative d'un vignoble de masse.Thèse Paris 1960, 3 volumes. Causse , Graille et Castelnau, Éditeurs Montpellier.
Joseph P. VIDAL, Vignes en Roussillon, 1959.
La trame du vignoble, Jacques Mary, Editions A. Barthélémy, 1995
Annuaire Général Vins, Champagnes, Eaux de vie, Alcools
Ouvrage officiel des caves et distilleries coopératives françaises.
Édition de la Confédération Nationale des Caves Coopératives et de la Fédération Nationale des Distilleries Coopératives, 1947.
Annuaire national officiel des caves coopératives de France - 1955-56
Annuaire national officiel des caves coopératives de France - 1960-61
Annuaire national des caves coopératives - 5ème édition - 1982 (erreurs de dates en ce qui concerne les caves des Pyrénées-Orientales)
Vins d'Alsace - Guide des Caves Coopératives
Fédération des coopératives Vinicoles d'Alsace
Une empreinte dans le vignoble XXème siècle : naissance des Vins d'Aquitaine d'Origine Coopérative Philippe Roudié et Jean-Claude Hinnewinkel
LPDA Editions-2001
Un siècle de syndicalisme agricole - la vie locale et nationale à travers le cas du département de la Loire - Jean Vercherand - Centre d'Etudes Foréziennes.
Les coopératives varoises, une architecture sociale et politique, Karyn Orengo, chargée d’inventaire Pays d’Art et d’Histoire de la Provence Verte (document PDF)
http://www.infos-patrimoinespaca.org/articles/articles_pdf/telecharge.php?pdf=dossier_58.pdf
S'intéresser à l'histoire de Vinsmoselle, c'est nécessairement se pencher aussi sur le cours de la grande Histoire. Il est assez étonnant de voir à quel point l'évolution de la viticulture ...
Glanes (Lot) : 1992 (de 1976 à 1992, les Vignerons du Haut Quercy sont rassemblés au sein d’un GAEC. Depuis 1992 c’est une cave coopérative vinicole.)
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Les Vignerons des coteaux du Céou (canton de Domme) Moncalou (Dordogne) : 1998
La Neuveville-sous-Montfort (Vosges) : 1999
............................................. Sauternes (Gironde) : 2015 (en attendant l'hypothétique construction de la cave, mais l'absorption par la cave de Tutiac semble privilégiée)
CHAMPAGNE Pourquoi traiter à part la Champagne ? Les caves coopératives champenoises n'ont pas toutes fourni à leurs fédérations départementales, ni en 1947 ni en 1960 ni en 1982, leurs années de création.
Elles sont donc classées ici par département et par ordre alphabétique.
Barbera de la Conca : 1901 Codorniu : 1915 Falset : 1919 Pinell de Brai : 1919 Gandesa : 1920
Cave coopérative de Barbera de la Conca (1903)
ALGERIE (départements français jusqu'en 1957)
En 1928, 92 caves avaient été mises en service dont 59 dans l'Algérois, 13 dans l'Oranais et 20 dans le Constantinois. Ce chiffre atteignit 188 en 1959 dont 94 pour le département d'Alger, 78 pour le département d'Oran et 16 pour le département de Constantine.
"Un mémorandum sur la réforme de la viticulture luxembourgeoise est acté le 31 juillet 1965. Il vise à l’élaboration d’une nouvelle société, régionale et coopérative, qui regroupera non seulement les vignerons, mais qui se chargera également de l’élaboration de vins de qualité et de leur commercialisation : ce seront les Domaines Vinsmoselle, finalement fondés le 16 avril 1966.
La nouvelle structure regroupera dans un premier temps les caves coopératives de Grevenmacher, Stadtbredimus, Greiveldange, Remerschen et de Wellenstein. Wormeldange fait de la résistance et ne rejoindra Vinsmoselle que bien plus tard, en 1988."
"La cave coopérative d’Aït Souala a été construite en 1931 à l'initiative de 6 colons, qui choisirent un système coopératif. Démarche originale pour l'époque ! Regroupant 43 coopérateurs, elle était alors le joyau de la viticulture marocaine avec ses 400 000 hl. Aujourd'hui, elle n'est plus qu'un vaste musée, symbole d'un passé fastueux. La cave est utilisée à 40% de sa capacité et n'a de coopérative que le nom, puisqu'en réalité 2 actionnaires la font fonctionner. Le principal est la SODEA (95%), à qui s'est associé un marocain. La visite de cette cave permet d'imaginer ce que furent les grandes années du Maroc viticole : 6 conquets de réception (10000 Qx/jour)… plus de 800 cuves allant de 300 à 600 hl … les logements du personnel… le générateur servant à fabriquer le courant nécessaire au fonctionnement de la cave… Impressionnant et triste."